La tuerie de Polytechnique: Le nouveau MK Ultra des médias

Le projet MK-Ultra (ou MKUltra), dévoilé en 1975, est le nom de code d’un projet secret illégal de la CIA des années 1950 à 1970 visant à développer les techniques de manipulation mentale.

Wikipedia

Je travaillais paisiblement dans mon salon jusqu’à ce que j’entende à la télévision les mots « violence » et « conjugale. » Sachant que nous sommes seulement un peu plus d’une semaine suivant l’anniversaire du tragique événement de Polytechnique façonné par nos programmes d’enrichissement culturel, j’ai tendu l’oreille puisqu’il est important d’être à l’affût des médias dans des circonstances où un drame peut être utilisé pour pousser un narratif politique.

Je ne passerai pas par 4 chemins. Voici exactement ce qui était à l’affiche à Radio-Canada sur ma télévision.

La publication Twitter de ce reportage est disponible ici.

En vain, du pur endoctrinement sous l’aile et le financement de l’état. Curieux, j’ai fait quelques recherches sur le reportage en question.


La déshumanisation de l’homme

« Elle me fait chier avec ses show et ses party de filles » est un des indice que l’on peut entendre à travers le reportage de Jacaudrey Charbonneau qui semble révéler aux jeunes (selon moi agés entre 14 et 16 ans) que la relation du couple est malsaine. Ceci est clairement indicatif de l’endoctrinement que notre gouvernement essaie d’implanter dans le cerveau de nos jeunes. On tente de formater les enfants de sorte que leur jugement ne soit plus un paramètre de prise de décision. Ainsi, on les déshumanise en assumant qu’ils ne seront jamais capable de poser un jugement moral par eux-même. Une tâche qui est ensuite remise à l’état. Dans ce scénario, la partenaire se permet d’aller voir des « show » et de participer à des « party de filles. » Selon ce formatage, si un homme commence à minimalement juger ces habitudes, il est automatiquement considéré par le projet « Préven-Quête » du service de police de Laval comme une personne aux attitudes conjugales « malsaines. » Tout cela est, par la suite, diffusé et promu par la télévision d’état.

« C’est un couple. Normalement ils devraient s’aimer » peut-on entendre un des jeunes affirmer. On puise les jeunes hommes de leur humanité en leur faisant croire que leur jugement est immoral lorsqu’il n’est pas encadré par les paramètres de l’état. « L’amour » est donc placé au premier plan, et toutes responsabilités deviennent désuètes.

Une drôle de coïncidence

Évidemment, je suis pleinement habitué à ce genre de chose et c’est donc le moindre de mes ennuis. Mon problème ici est chronologique. Le reportage est apparu sur les ondes de Radio-Canada il y a 4 jours. Ainsi, nous nomme présentement 8 jours suivant le 30e anniversaire de la tuerie de l’université Polytechnique. Malgré que nous sommes bombardés depuis le 6 décembre dernier de centaines de cosmopolites privilégiés qui utilisent ce drame vieux de 30 ans causé par un fils d’immigrant pour aller chercher l’émotion des plus intellectuellement démunis, plusieurs médias s’acharnent tout de même dans les derniers jours à nous faire avaler l’idée que la violence conjugale est en pleine montée.

Je n’ai jamais été autant marquée par un reportage que par celui-ci, en 1999, pour les dix ans de Poly. Je n’ai jamais autant pleuré en interviewant des gens, brisés.

Isabelle Hachey

C’est dans cette optique que vous avez sûrement pu entendre parler du projet pilote visant à investir 2,6 millions de dollars de nos taxes dans la clinique Juripop qui servira à « assister les victimes de violences conjugales. » Cette décision fut prise en réponse à l’adoption de la loi 151 il y a de cela 2 ans qui garantit aux femmes un accès à de tels services. C’est donc une ÉNORME coïncidence de soudainement voir ce projet être présenté alors que nous sommes 2 ans suivant l’adoption de la loi, mais seulement 3 jours suivant le 30e de la tuerie de Polytechnique. Il est important de rappeler qu’un scénario semblable s’est produit il y a 2 ans alors que l’adoption de la loi 151 avait été confirmée seulement 3 jours après le 28e anniversaire de la tuerie.

Un autre évènement est survenu le 11 décembre dernier alors qu’un homme de 46 ans du nom Nabil Yssaad se serait enlevé la vie après avoir tué sa femme Dahia Khellaf et ses deux fils âgés de 2 et 4 ans et ce, malgré qu’il avait signé un engagement avec le tribunal en 2018 l’obligeant de ne pas les approcher. Évidemment, TVA, Le Journal de Montréal et La Presse n’ont pas pu s’empêcher de lier l’évènement à la violence conjugale. La Presse et Le Journal de Montréal se sont même permis de nous donner le numéro de SOS Violence Conjugale. Il faut le faire. En effet, tout le monde sait que dans une situation où un homme devient un maniaque meurtrier, le premier numéro que je souhaite composer est celui de SOS Violence Conjugale.

De plus, le Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale, un groupe dont Mélanie Valente présentée dans le reportage ci-haut est membre, a aussi partagé la nouvelle.

Mais bon! C’est le 30e de Polytechnique. Il faut bien fêter ça.

Ça s’accumule

Dans l’émission de RDI Matin du 14 décembre, Caroline Lacroix s’entretenait avec Quentin Desrosiers à propos du groupe À Cœur d’Homme dont il fait parti qui, selon leur site, « a comme objectif d’encourager la prévention des violences conjugales et familiales et d’actualiser le développement et la consolidation d’un réseau d’aide aux hommes pour une société sans violence. » À environ 50 secondes dans l’entrevue, on peut entendre l’animatrice poser la question suivante à son invité faisant référence à l’homicide commis par Nabil Yssaad:

Donc, qu’est ce que vous vous dites quand un drame comme celui-là survient? Parce que… ça s’accumule.

Caroline Lacroix

Ce simple extrait est humiliant. Le « parce que ça s’accumule » de Mlle. Lacroix est tellement chargé de fausses inférences et de pression émotionnelle qu’il est difficile de comprendre comment son invité n’a pas choisi de remettre son dire en question.

C’est à l’aide d’un ton de voix qui insinue à son invité que son travail n’est pas efficace qu’elle assume que la violence conjugale s’accumule, donc, qu’elle est en montée au Québec. Or, la réalité est tout autre. En fait, j’ai ma petite idée de ce que Mlle. Lacroix inférait le 14 décembre dernier par « ça s’accumule. » Après avoir fait une analyse détaillée de l’actualité mise en ligne par Radio-Canada depuis la veille de l’anniversaire de la tuerie, il est logique de conclure que l’animatrice n’a subi rien d’autre qu’un lavage de cerveau par l’institution pour laquelle elle travaille. En effet, depuis le 5 décembre dernier, j’ai compté 27 publications dans un délai de 12 jours de la part de Radio-Canada insinuant une violence à l’égard des femmes de la part des hommes. Submergée par ce contrôle du narratif de violence que le géant médiatique essaie d’imposer, il est normal de voir la pauvre Caroline, par son ton de voix, supplier son inviter d’y faire quelque chose. Voici une liste concrète et détaillée de ce contrôle de l’information qui prend place depuis la veille du 30e de Polytechnique.


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Dans la foulée du mouvement #MoiAussi, la violence conjugale est une agression sexuelle

Le jeu des médias est simple. Leur idée est de toujours nous (ou plutôt les lobotomisés) faire croire qu’il y a toujours quelque chose qui se passe, quelque chose qui progresse et que eux, chaleureux médias subventionnés par l’état, sont toujours à l’avant-garde des ces événements. De cette manière, ils accomplissent 2 choses.

Premièrement, ils déstabilisent leurs téléspectateurs en leur donnant l’impression qu’ils ne suivent pas bien l’actualité puisque cette technique leur fourni constamment le sentiment d’avoir manqué quelque chose.

Deuxièmement, ils les rabaissent en leur donnant l’impression que les « journalistes » sont les seuls individus à pouvoir convenablement transmettre l’information.

Suite à la présentation du projet pilote mentionné plus haut, TVA Nouvelles a accordé une entrevue à Véronique Hivon (du PQ) et Christine Labrie (de QS) qui était modérée (ou plutôt animée) par Julie Marcoux. Évidemment, on pourrait parler des heures simplement sur cette mise en scène complètement risible où l’on positionne 2 riches femmes bourgeoises indignes de 2 partis politiques supposément en désaccord idéologique pour faire la morale aux citoyens honnêtes sur où leur argent devrait être dépensée. Pourtant, là n’est pas mon problème.

À 3 minutes et 33 secondes dans le montage suivant (disponible dans nos archives), Julie Marcoux s’adresse à Christine Labrie pour lui poser une question, mais l’introduit d’une manière très curieuse:

Parce que, dans la foulée du mouvement « MeToo », vous vous êtes rendue compte que les victimes étaient réfractaires à porter plainte. Pourquoi?

Julie Marcoux

Qui a parlé de « MeToo » ici? Personne. Littéralement personne n’en a parlé. Selon le narratif que l’état nous impose, le « mouvement MeToo » est supposé être une réponse face à une aggression sexuelle, pas une situation de violence conjugale. Les démarches nécessaires pour dénoncer une agression sexuelle sont loin, mais TRÈS loin d’être les mêmes que dans le cas d’une violence conjugale qui, même selon nos « spécialistes », n’implique en majorité AUCUN toucher physique.

L’été dernier, nous apprenions que la violence conjugale la plus répandue était de nature psychologique et qu’elle touchait près de 12% des personnes ayant été en couple.

Clinique Psychologie Québec

De plus, « MeToo » n’est-il pas une vielle tendance expirée d’octobre 2017? Ainsi, je peux comprendre son utilisation dans le premier, au pire, le deuxième mois suivant la naissance de la tendance, mais nous sommes présentement 27 mois plus tard. Rien de cela ne fait de sens, et Julie Marcoux est fort probablement au courant, mais ne se pose pas la question.

Dans son sens propre et premier, la foulée est une enjambée et quelqu’un qui se trouve « dans la foulée » se situe juste derrière un coureur qui le précède.

La langue a étendu cette expression pour lui donner le sens de « à la suite » et « immédiatement après. »

L’internaute

Alors, que tente de faire Mlle. Marcoux ici? La discussion battrait sûrement son plein si elle était un homme, mais Julie Marcoux est une femme. Ainsi, la réponse est simple. Elle fait ce que toutes les femmes savent le mieux faire: Elle imite.

Elle imite le narratif dominant qui, si on fouille bien, trouve ses sources nulle part ailleurs que sur le site web de la station pour laquelle elle travaille. La preuve? Gâtez-vous.


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La conclusion est évidente. Il s’agit d’une tactique subversive assez simple. En répétant constamment que nous sommes dans la foulée de quelque chose de gros, Québécor, en plus d’accomplir les deux choses précédemment mentionnées, fait volontairement l’amalgame entre les problèmes conjugaux et le viol. Il s’agit d’un constat très inquiétant puisque cela prouve qu’il y a un projet politique présentement en fonction qui vise à rendre le sentiment de la femme tout-puissant face à la justice. De cette manière, la société se dirige rapidement vers une forme de justice qui ne fera plus la distinction entre un homme qui crie à sa femme (que se soit pour la raisonner ou par simple colère) et un viol pur et dur.

De cette manière, les médias s’engagent volontairement dans une pente glissante leur permettant de tranquillement mettre le viol sur le même pied d’égalité qu’une tentative de viol, un attouchement sexuel, une remarque perverse, et ultimement, un compliment.

Mais Québécor n’est pas subversif en soit. Il ne fait que suivre le narratif de ses financiers anglais[1]archive.md/0Bn4N et de ses compétiteur et partenaires américains[2]archive.md/Xto2I.

Ces attaques constantes contre l’homme ne sont que les retombées d’un plan malicieusement mis sur pied en octobre 2017 suivant les multiples plaintes de viol et d’agressions sexuelles ayant été dirigées à l’égard de puissants homme juifs d’Hollywood et du gouvernement américain.

Ces dernières ont atteint un sommet en octobre 2017 avec les révélations d’abus sexuels d’Harvey Weinstein, une des figures les plus importante du milieu Hollywoodien.

Évidemment, aucune personne de bien informé n’était surprise de ces révélations lorsqu’elles sont apparues. Le problème résidait éventuellement dans l’esprit des endormis (aussi connus sous le nom de brainwahsés ou NPC) qui ont littéralement vu leur monde de contes de fées rose bonbon s’envoler quand ils ont réalisé que certains hommes dans le milieu Hollywoodien qu’ils chérissaient tant avaient assez de pouvoir pour transformer leur vedette préférée d’Harry Potter en petite traînée sans absolument aucune répercussion négative. Et cela (et c’est le plus drôle), malgré que cette dernière était supposément l’une des plus grande plaidoyère des droits de la femme du monde.

En vain, le système n’avait nul autre choix que d’exécuter un contrôle de dommage énorme dans le but d’étouffer ce qu’il se passait à Hollywood tout en permettant le narratif anti-homme de perdurer. C’est justement ce qu’il s’est passé. « MeToo » est né et le Québec, comme le reste de l’Occident, n’en fut pas épargné. Très étrangement, ce mouvement n’a aucunement affecté de pays non-occidentaux. Notre centre de recherches tente toujours de résoudre ce mystère inexpliqué.

Source: http://www.womanstats.org/newmapspage.html

Comme l’a bien démontré Goy Georges dans l’une de ses enquête, ce « mouvement » tient ces origines de nulle part d’autre que le même réseau criminel qu’il l’a engendré.

Une grosse arnaque qui est une gracieuseté de la famille Clinton et Cie. Et il ne faut pas aller chercher loin pour connaître la relation que ces gens ont avec ces juifs pédo-violeurs.

Réutilisation de vielles images

Radio-Canada a trouvé une solution bien plus efficace pour nous faire avaler le narratif de la violence conjugale. En effet, après un certain temps, il ne se passait plus rien dans la société qui était assez viable pour être utilisé pour pousser cet agenda anti-homme. Ainsi, j’ai l’honneur de vous annoncer que les images de « Préven-Quête » du reportage de Jacaudrey Charbonneau que vous venez de visionner n’ont pas été prises cette année, mais bien en novembre 2018. Vous pouvez même visionner les images originales sur Youtube.

La seule pièce d’information chronologique qu’il est possible de trouver en lien avec l’évènement est cet extrait de texte miniature en bas de la version Youtube du reportage qui affirme que:

Le programme Préven-Quête lancé il y a un an permet aux jeunes d’identifier les comportements malsains dans une relation à travers un jeu d’évasion immersif.

Radio-Canada

Ainsi, il est littéralement impossible de se situer dans le temps. Personne qui regarde le reportage (encore moins ceux à la télévision) n’a le moyen de savoir que les images utilisée datent de plus d’un an ou même que l’initiative n’a pas été récemment mise sur pied. Mais c’était probablement l’objectif puisque cela donne l’impression aux téléspectateurs que le narratif de la violence conjugale est activement considéré et que tout ce qui y est en lien est en mouvement.

De plus, dans la présentation du reportage, il semble que Radio-Canada tente de donner l’impression que nous sommes dans un contexte où de la violence conjugale est récemment survenue au point où la situation devient incontrôlable. Après avoir lu le début de mon article, j’imagine que vous connaissez le refrain.

Après chaque drame conjugal, la même question revient: comment prévenir d’autres tragédies et enrayer le fléau complexe de la violence conjugale? Le service de police de Laval en partenariat avec d’autres organismes qui viennent en aide aux femmes victimes de violence conjugale pense que la prévention doit se faire dès l’adolescence. Le programme Préven-Quête lancé il y a un an permet aux jeunes d’identifier les comportements malsains dans une relation à travers un jeu d’évasion immersif.

Radio-Canada

Le plus drôle dans cette histoire c’est qu’il est possible de confirmer avec Google que le groupe « Préven-Quête » n’a jamais été actif dans les médias. C’est littéralement Jacaudrey Charbonneau qui a fait sortir cette initiative ultra-isolée de nulle part.

C’est l’histoire d’un immigrant renforcée par un immigrant et propulsée par une immigrante sous le voile d’une loi proposée par une immigrante

Le vrai nom de Marc Lépine, l’auteur de la tuerie de Polytechnique était Gamil Rodrigue Liass Gharb. Ça, tout le monde le sait. Or, la petite bourgeoisie progressiste va toujours tenter d’éviter le sujet puisque cela ne va clairement pas dans leur sens politique. On le sait aussi. Ce qui commence à être nouveau, par contre, c’est les petits gauchistes téméraires qui commencent à aller fouiller sur la page Wikipedia du tueur dans l’objectif de trouver quelque chose qui irait dans leur sens politique.

En 1978, il remplace son nom de Gamil Gharbi par celui de Marc Lépine, notamment, selon sa mère, « parce qu’il en avait marre de se faire traiter d’Arabe par d’autres ados. »

Wikipedia

Voilà donc le résultat.

J’ai une nouvelle pour ces gens. Gamil ÉTAIT arabe. La gauche est tellement crédule. Je n’en reviens même pas que quelqu’un puisse mordre à de telles ânerie. C’est comme si je voulais changer de nom à cause que je me faisais constamment traiter de blanc. Je SUIS blanc! Qu’est ce que c’est supposé de me faire? Je peux comprendre le principe si la gauche considère les arabes comme racialement inférieurs, ce qui ne me surprendrait pas venant d’eux. Autrement, rien de cela ne fait de sens. Gamil était un enfant d’immigrant. Point barre. Comme tout enfant d’immigrant, il a probablement vécu une crise d’identité. Ceci pourrait bien plus rationnellement justifier ses actions. C’est un scénario très commun que j’ai déjà documenté dans l’un de mes articles en lien avec les enfants d’immigrants de Suède.

Je souhaiterais aussi préciser que la coordonnatrice de la campagne « Préven-Quête » est la même femme qui est derrière ces horribles affiches qui ont hanté le métro et les rues de Montréal il y a de cela 1 an.

Par ce que je considère comme de la malhonnêteté, la narratrice du reportage prononce le nom de la demoiselle en question comme si elle s’appelait « Mélanie Valenté. » Pourtant, l’individu est ethniquement originaire d’Amérique latine et son nom se prononce « Mélanie Vâlainté. »

Plusieurs commentaires en espagnol peuvent être repérés sur son profil Facebook

Vous voulez connaître la meilleure? Malgré que la fameuse loi 151 servant supposément à protéger les femmes de la violence conjugale a été introduite par Hélène David, elle fut au tout début proposée par nulle autre qu’une fille d’immigrants du nom de Kristen Perry.

Ainsi, voici l’état absolu du Québec: C’est le 30e anniversaire d’un fils d’immigrant arabe ayant sélectivement tué 14 femmes renforcé par un immigrant ayant tué sa femme et ses deux enfants qui pousse les médias à mettre de l’avant une campagne de sensibilisation contre la violence conjugale mise sur pied par une immigrante latine sous le voile d’une loi qui a été proposée par une fille d’immigrants.

NOUS CE QU’ON VEUT C’EST DE L’IMMIGRATION LÉGALE!

La Meute

Femmes

Je ne sais pas si vous réalisez le modèle qui se forme sous nos yeux, mais moi je le vois. Toutes ces pertes de temps politiques, sociétales et monétaires en lien avec la dénonciation de « la violence des hommes » au Québec sont uniquement mises de l’avant par des femmes et tiennent uniquement leurs origines des médias et de cartels pédophiles.

Vous pensez que les femmes savent ce qu’elles font lorsqu’elles mettent de l’avant ce genre de politique?

J’ai l’honneur de vous annoncer qu’il n’y en a pas une qui a la moindre idée de ce qu’elle fait, et encore moins des conséquences néfastes de ce qu’elle avance.

Les femmes n’ont pas changé depuis des millénaires et on dirait que tous les hommes font à semblant de l’ignorer dans le but de peut-être avoir une chance d’immoralement s’enivrer des plaisirs de la chair.

La femme n’a pas changé. Elle fait la même chose depuis toujours. Tout ce qu’elle souhaite, c’est plaire aux hommes. C’est pour ça qu’elles aiment se victimiser à l’aide du narratif de la violence conjugale et du harcèlement et c’est pour ça qu’elle répètent constamment les mêmes rhétoriques que les institutions pour lesquelles elles travaillent. Tout se rapporte à l’homme.

  • La victimisation démontre un sentiment de faiblesse qui attire naturellement l’attention protectrice de l’homme.
  • Imiter est une démonstration de fidélité qui est toujours recherchée chez la femme par l’homme.

Rien de plus. Rien de moins. Pour terminer sur une note un peu moins sérieuse, je voudrais préciser que le seul problème ici est l’homme. Certains préfèrent se laisser dominer par l’esprit politique féminin plutôt que de prendre contrôle sur ce dernier parce qu’ils ont sincèrement peur de ne plus avoir de chance avec les femmes s’ils agissent ainsi.

Une seule conclusion peut être tirée. Les hommes sont devenus des

CUCUS.

Références   [ + ]

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