François Legault joue un jeu d’acteur, rien de plus. Pour lui, tout est un acte. L’air bougon, hanté par une impatience acharnée, c’était lorsqu’il discutait seul avec son équipe de campagne qu’il était possible de voir son vrai visage.
Si le monde est vraiment en crise, pourquoi les gouvernements et les médias de masse censurent et négligent-ils autant toutes alternatives à la vaccination mondiale?
Le président Donald Trump se bat pour trouver une solution médicale pour le coronavirus à court terme, exprimant l’espoir que l’Hydroxychloroquine puisse aider les patients souffrant du virus chinois.
Robert F. Kennedy Jr., adversaire déclaré des abus de l’industrie de la vaccination, a publié sur le site de sa fondation une dénonciation franche et sans détours des expérimentations de Bill Gates, qui semble considérer l’humanité entière comme sa réserve de cobayes.
« Ces services que l’on nous présente comme des zones de guerre, totalement débordés, sont en fait des unités de surveillance où nous ne faisons presque rien. Je n’ai jamais eu de journées aussi tranquilles que depuis le début de cette crise. »
« Ainsi, si nous faisons un très bon travail sur les nouveaux vaccins, les soins de santé et les services de santé reproductive nous pourrions peut-être réduire [la population mondiale] d’environ 10% à 15% »
En octobre 2019, la fondation de Bill Gates, ainsi que le Forum Économique Mondial et l’École de Santé Publique Bloomberg John Hopkins ont assisté à un exercice visant à simuler une pandémie mondiale de type Coronavirus.
L’article en soi n’avançait en aucun cas des conspirations loufoques basées sur de fausses informations. En effet, l’objectif de l’auteur était bel et bien de prouver que la panique était entièrement inutile, tout en se basant sur des statistiques et des recherches vérifiables.
La diffusion en masse dans les médias de la propagation naturelle de la 7e variante du Coronavirus Humain a plus que jamais donné raison à certains survivalistes, non pas à cause d’une épidémie, mais bien à cause de la panique générale qu’il leur est possible d’éviter.
Le quatrième gala du centre de recherche Goodman, un événement inspiré et mis sur pied par Rosalind Goodman, a attiré 800 invités et a recueilli 2,16 millions de dollars.