Les médias ont pris un extrait d’une minute sur une vidéo d’une heure et ont pris soin de ne pas diffuser les exemples de fraude qui sont cités par Trump dans une bonne partie de la vidéo. Ils ont uniquement garder le moment où il affirme qu’il lui faut 11171 voix.
Les médias ont eu une vision quasi exacte de ce qui allait se produire, prédisant ainsi mot pour mot et état par état la situation que les États-Unis vivent actuellement. Ces derniers se vantent même de collaborer avec Facebook et Twitter dans l’objectif de légitimer le comptage post-électoral des votes.
François Legault joue un jeu d’acteur, rien de plus. Pour lui, tout est un acte. L’air bougon, hanté par une impatience acharnée, c’était lorsqu’il discutait seul avec son équipe de campagne qu’il était possible de voir son vrai visage.
Le président Donald Trump se bat pour trouver une solution médicale pour le coronavirus à court terme, exprimant l’espoir que l’Hydroxychloroquine puisse aider les patients souffrant du virus chinois.
Robert F. Kennedy Jr., adversaire déclaré des abus de l’industrie de la vaccination, a publié sur le site de sa fondation une dénonciation franche et sans détours des expérimentations de Bill Gates, qui semble considérer l’humanité entière comme sa réserve de cobayes.
« Ces services que l’on nous présente comme des zones de guerre, totalement débordés, sont en fait des unités de surveillance où nous ne faisons presque rien. Je n’ai jamais eu de journées aussi tranquilles que depuis le début de cette crise. »
En octobre 2019, la fondation de Bill Gates, ainsi que le Forum Économique Mondial et l’École de Santé Publique Bloomberg John Hopkins ont assisté à un exercice visant à simuler une pandémie mondiale de type Coronavirus.
Le chroniquer profita de l’occasion pour préciser que la grippe saisonnière cause en moyenne 300 décès par année au Québec. Dans son autre entretient avec M. Guérin, l’écran de contexte animée précise qu’il y a présentement 36 décès du Coronavirus au Québec.
L’article en soi n’avançait en aucun cas des conspirations loufoques basées sur de fausses informations. En effet, l’objectif de l’auteur était bel et bien de prouver que la panique était entièrement inutile, tout en se basant sur des statistiques et des recherches vérifiables.
Si autrefois moqués et dans les pires cas médicamentés ou encore enfermés en instituts spécialisés, aujourd’hui les crétins sont des invités experts chez Radio-Canada ou dans des talk-shows pseudo-intellectuels pour bobos branchés.